

Les tanneries témoignent d'un patrimoine industriel passé. Restaurées en 2021, les deux roues hydrauliques du quartier des tanneries de Saint-Pierre-sur-Dives sont les derniers vestiges des moulins à tan (écorce de chêne) Landert-Debutte et Duclos-Molle.
Dés 1018 avec l'arrivée de Foulques, abbé de Notre-Dame de l'Epinay et de quatre moines bénédictins, et jusqu'à la Première Guerre mondiale, la tannerie fut l'industrie principale de Saint-Pierre-sur-Dives. Comprenant alors dix établissements en bordure de La Dives et occupant plus de 80 ouvriers, les tanneries ont été, pour le bourg pétruvien, une importante source de prospérité et de richesse. Le tan (écorce de chêne), employé alors pour rendre les peaux imputrescibles, provenait de toutes les contrées de France. Dés 1928, les divers établissements avaient disparu et seule subsistait la tannerie Coeuret et dirigée depuis 1957 par son petit-fils Michel Leportier.
Dés 1018 avec l'arrivée de Foulques, abbé de Notre-Dame de l'Epinay et de quatre moines bénédictins, et jusqu'à la Première Guerre mondiale, la tannerie fut l'industrie principale de Saint-Pierre-sur-Dives. Comprenant alors dix établissements en bordure de La Dives et occupant plus de 80 ouvriers, les tanneries ont été, pour le bourg pétruvien, une importante source de prospérité et de richesse. Le tan (écorce de chêne), employé alors pour rendre les peaux imputrescibles, provenait de toutes les contrées de France. Dés 1928, les divers établissements avaient disparu et seule subsistait la tannerie Coeuret et dirigée depuis 1957 par son petit-fils Michel Leportier.
Tarifs
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Périodes d'ouverture
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